La collaboration
Des artistes singuliers, des œuvres uniques, un visuel percutant, une collaboration entre art et mode.




Issu des arts graphiques et des arts urbains, Quetzilla accorde une attention particulière à la représentation du mouvement dans la peinture depuis 2015. Mêlant figuration et abstraction, l’expérience esthétique, en premier lieu intuitive, invite le spectateur à faire une introspection et à s’interroger sur ses interactions avec son environnement, son rapport à la nature.
Adaptation ou domination, le combat que l'on mène pour notre futur ne dépend que de nos actions.
Son travail explore essentiellement des visages. En décomposant ses sujets, l’artiste rythme ses compositions par des mouvements psychédéliques en utilisant la répétition et la superposition des formes.
De sa palette, chaque couleur découle d’une autre pour apporter un jeu de transparences. L’ensemble mêle complexité et simplicité, à l’image de la biodiversité.

Mynah vient du diminutif de son prénom, Marina et du nom d’un petit étourneau asiatique au plumage brun, le Mynah. Ce surnom lui a très rapidement collé à la peau et reflète parfaitement son attitude lunaire, rêveuse comme en témoignent ses bulletins scolaires… et les heures qu’elle passait à observer les oiseaux en toute quiétude… Aujourd’hui, sa philosophie c’est d’essayer de transmettre ce sentiment doux et de proposer un moment suspendu dans un monde réel ou rêvé qui nous incite à la contemplation.
Elle cherche à déshabiller les corps pour les parer d’une douce mélancolie, d’un filtre apaisant, une pause, loin de notre quotidien qui peut s’avérer intransigeant.
L’inspiration lui vient le plus souvent de chansons, de livres, poèmes, plans de film, ou images vues ici et là mais surtout d’Instagram elle l’avoue, une bible qu’elle adore autant qu’il lui arrive de la maudire. Puis elle laisse « la main qui pense » tracer les courbes fluides et féminines qui se libèrent petit à petit de leurs proportions et perspectives et dont le calme et la volupté l’inspirent. Son souhait lorsqu’elle dessine est de réussir à transmettre ces sentiments et de tendre vers un apaisement. Les témoignages en ce sens sont aujourd’hui son plus beau compliment.







Léna Macka est une illustratrice et tatoueuse française basée à Lyon en France. En 2014, elle intègre une école d’arts appliqués et se bâtit un univers onirique.
C'est ainsi que son personnage Pure naît. Ce petit bonhomme nu et sans identité correspond à tout le monde.
Il incarne la simplicité et la sensibilité. Ses yeux clos invitent le public à se faire sa propre interprétation. La finesse de ses traits donne une note poétique et enfantine aux illustrations. Elle propose des œuvres introspectives, mettant en scène ses questionnements – une véritable thérapie sociale par l’art.
En 2017, Léna Macka démarre une nouvelle activité, le tatouage. Après avoir débuté au salon Biribi à Lyon, elle ouvre son propre studio en octobre 2020, Macka Studio, situé au 26 rue Lanterne dans le ler arrondissement de Lyon.
Par Jean-Baptiste Bourgeois.